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Le époux et la femme sont considérés comme une personne aux yeux de la loi. Les conséquences juridiques du mariage qui accompagnent rajoutent au caractère sacré de cette relation. Le mariage accepte légalement les deux personnes à cohabiter; les petits nés hors cérémonie sont les enfants légitimes du couple; l’épouse a droit à une pension alimentaire la durée du cérémonie et même après sa dissolution, par exemple. nLes atouts du mariage entraînent de nombreuses responsabilités. Les obligations matrimoniales envers le conjoint, la famille, les petits et la résidence conjugale font partie marquante du mariage indien. Pour éviter les obligations d’un cérémonie coutumier et pour bénéficier du bénéfice de la cohabitation, le concept de vie en relation est devenu réalité. Vivre dans une relation procure une vie sans responsabilité ni engagement, élément fondamental du cérémonie. Le concept de vie en couple n’est pas nouveau dans la société indienne, l'unique différence est que les premiers hésitaient à déclarer que leur statut était peut-être dû à la crainte de la compagnie.

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À présent, les gens sont ouvertement dans ce genre de relation. nQU’EST-CE QUI VIT DANS LA RELATION - Un arrangement de vie dans lequel un couple non marié vit ensemble sous le même toit dans une relation à long terme qui ressemble à un mariage s’appelle une relation de vie. C’est donc le type d’arrangement dans lequel un bonhomme et une fille vivent ensemble sans se marier. Cette forme de relation est devenue une solution au cérémonie dans les villes métropolitaines où l'émancipation individuelle est la priorité indispensable des jeunes et où personne ne veut se perdre dans les responsabilités typiques de la vie conjugale. nCette forme de vie courante n’est pas acceptée par la loi sur le cérémonie hindou de 1955 ni par aucune autre loi statutaire.

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Un domaine en pleine croissance - Les livres sur la sexualité et la passion, tels que le Kama Sutra, l’Ars Amatoria et le Jardin parfumé du contentement sensuel, demeurent depuis longtemps. Mais ils ne sont pas inscrits dans un domaine de la santé formel de recherche rationnelle ou médicale. nÀ la fin des années 1800, malgré les attitudes sociales de répression sexuelle de l’époque victorienne, des attitudes plus libérale à l’égard de la sexualité ont commencé à être effectuées en grande bretagne et en Allemagne. Son bouqin intitulé Sexual Inversion, mis en ligne en 1897, décrit les relations sexuelles de mecs homosexuels et est apprécié comme la première étude objective sur l’homosexualité. Il a effectivement inventé ce terme et, malgré les attitudes sociales dominantes de l’époque, ne considérait pas l’homosexualité comme une maladie, comme immorale ou comme un crime. nAu cours des décennies suivantes, de nombreux autres spécialistes ont élargi notre compréhension de la sexualité des humains.